Le coaching ? le pilotage ?
le développement durable ? Expliquez-moi…
Durabilité / Développement durable
Depuis 2025, Muse Coaching se focalise sur un seul thème de coaching : le développement durable.
Mais c’est quoi ? Nous trouverons toutes les définitions sur le web, alors en quelques mots, seulement :
Le développement durable, c’est produire dans les limites des ressources en énergie, en matières premieres, consommer moins, de manière plus durable, en minimisant notre impact au niveau local, et donc global. Éviter le gaspillage, l’utilisation abusive des ressources planétaires, réduire la pollution de notre « maison », protéger la biodiversité, prévenir, ralentir, supporter le changement climatique et toutes les conséquences à grande échelle. C’est aussi prendre soin de l’humain, au travail ou dans la vie privée, qu’ils soient proches de nous ou au bout du monde. C’est également, doter les entreprises d’outils de gouvernance plus justes et plus performants.
Il existe de nombreux référentiels pour définir la durabilité (ou le développement durable, concept légèrement différent, parlons-en…)
Les Nations Unies ont développé les concepts suivants :
– RSE (responsabilité sociale des entreprises)
– CRE (conduite responsable des entreprises)
– ESG (environnement, social, gouvernance)
• Pacte Mondial
Ils ont également défini 17 objectifs de Développement Durable (ODD ou SDG en anglais) :
• Objectifs de Développement Durable
Quelle différence entre les deux termes ? Internet nous le dit très bien :
La durabilité est la capacité de maintenir ou de conserver, un peu comme un objectif stable à atteindre, tandis que le développement durable est une stratégie pour y parvenir, pour réaliser le développement sans compromettre la capacité de nos générations futures, voire de la vie sur Terre, à répondre à leurs besoins.
Mais c’est quoi ? Nous trouverons toutes les définitions sur le web, alors en quelques mots, seulement :
Le développement durable, c’est produire dans les limites des ressources en énergie, en matières premieres, consommer moins, de manière plus durable, en minimisant notre impact au niveau local, et donc global. Éviter le gaspillage, l’utilisation abusive des ressources planétaires, réduire la pollution de notre « maison », protéger la biodiversité, prévenir, ralentir, supporter le changement climatique et toutes les conséquences à grande échelle. C’est aussi prendre soin de l’humain, au travail ou dans la vie privée, qu’ils soient proches de nous ou au bout du monde. C’est également, doter les entreprises d’outils de gouvernance plus justes et plus performants.
Il existe de nombreux référentiels pour définir la durabilité (ou le développement durable, concept légèrement différent, parlons-en…)
Les Nations Unies ont développé les concepts suivants :
– RSE (responsabilité sociale des entreprises)
– CRE (conduite responsable des entreprises)
– ESG (environnement, social, gouvernance)
• Pacte Mondial
Ils ont également défini 17 objectifs de Développement Durable (ODD ou SDG en anglais) :
• Objectifs de Développement Durable
Quelle différence entre les deux termes ? Internet nous le dit très bien :
La durabilité est la capacité de maintenir ou de conserver, un peu comme un objectif stable à atteindre, tandis que le développement durable est une stratégie pour y parvenir, pour réaliser le développement sans compromettre la capacité de nos générations futures, voire de la vie sur Terre, à répondre à leurs besoins.
Le coaching d’aujourd’hui
- Le coaching a puisé dans les métiers de conseil et de mentoring pour proposer un accompagnement différent, plus adapté à d’autres besoins, d’autres attentes.
- Le coaching questionne, écoute, recueille, accueille, challenge parfois. Il guide l’échange vers une tonalité positive. Il alerte sur les carcans imposés par la société, sur les obligations que l’on se met, que l’on accepte, et met en perspective pour que la personne décide si ces obligations sont vraiment obligatoires. Il aide à gérer les croyances limitantes, les « je n’y arriverai pas », les « je suis trop ceci, trop cela, je n’ai pas le niveau »...
Le coaching nous aide à connaitre nos vraies forces, quelles que soient leurs origines, tout en acceptant mieux nos faiblesses et nos peurs.
Le coaching nous aide à mieux connecter nos émotions et nos actions, nos choix, nos valeurs. - Il interroge sur les vrais buts, les vrais objectifs, sur les envies que l’on ne (se) dit pas, que parfois on n’identifie pas encore.
- Le coach pourra parfois être amené à partager qu’il ne ... partage pas ce point de vue. Cependant, il ne dira pas : « c’est faux, vous avez tort ». Le coach n’est pas complaisant, il est bienveillant.
- Dans tous les types de coaching, le coach se focalise sur l’humain, et les propres ressources de la personne qu’il accompagne, ses valeurs, ses talents, ses forces… Et ça fait du bien !
le pilotage de projet
Le pilotage de projet consiste à mettre en œuvre concrètement les actions que vous aurez choisies auparavant, via le coaching ou autrement. C’est le rôle du chef de projet.
Un projet, c’est (presque) toujours pareil. Un objectif est défini puis précisé, affiné, détaillé dans un cahier des charges. Par exemple, récupérer les eaux pluviales d’un bâtiment industriel. On y défini alors le délai, le budget, les contraintes. Les caractéristiques techniques et l’objectif.
Un projet, c’est aussi, surtout, une équipe. Le projet réuni les prestataires extérieurs, les collaborateurs internes, le donneur d’ordre qui peut aussi être le client final, le comité de pilotage éventuellement, les experts techniques, scientifiques, éthiques, financiers réunis en comités bien identifiés. Toutes ces personnes forment l’équipe projet.
Le chef du projet, n’est pas souvent le chef de toutes ces personnes. Cependant, elles participent au projet. Elles sont donc motivées autrement que par le lien hiérarchique.
Plusieurs projets similaires peuvent être regroupés en programme, ou en portefeuilles.
La personne qui pilote le projet sera en charge de rédiger le cahier des charges, de former l’équipe projet, d’assurer la communication entre tous les maillons de la chaine, d’anticiper ou de résoudre les difficultés. Le responsable de projet est ... responsable du bon déroulement du projet devant son client/donneur d’ordre, qui ne doit voir « qu’une seule tête ».
Le Chef de projet doit avoir une approche généraliste, stratégique, une vue d’ensemble en général, et doit être capable de temps en temps de se focaliser sur l’un ou l’autre aspect du projet, responsabilité des experts, en finance, en technique, en logistique, en ressource humaines etc...
En conclusion, le chef de projet peut théoriquement piloter n’importe quel projet, sans connaitre la totalité des comparants techniques. Il faut au moins qu’il ait la capacité d’apprendre vite et qu’il ait les compétences humaines, les fameux « softs skills » indispensables. Écoute, respect, leadership, communication…
Un projet, c’est (presque) toujours pareil. Un objectif est défini puis précisé, affiné, détaillé dans un cahier des charges. Par exemple, récupérer les eaux pluviales d’un bâtiment industriel. On y défini alors le délai, le budget, les contraintes. Les caractéristiques techniques et l’objectif.
Un projet, c’est aussi, surtout, une équipe. Le projet réuni les prestataires extérieurs, les collaborateurs internes, le donneur d’ordre qui peut aussi être le client final, le comité de pilotage éventuellement, les experts techniques, scientifiques, éthiques, financiers réunis en comités bien identifiés. Toutes ces personnes forment l’équipe projet.
Le chef du projet, n’est pas souvent le chef de toutes ces personnes. Cependant, elles participent au projet. Elles sont donc motivées autrement que par le lien hiérarchique.
Plusieurs projets similaires peuvent être regroupés en programme, ou en portefeuilles.
La personne qui pilote le projet sera en charge de rédiger le cahier des charges, de former l’équipe projet, d’assurer la communication entre tous les maillons de la chaine, d’anticiper ou de résoudre les difficultés. Le responsable de projet est ... responsable du bon déroulement du projet devant son client/donneur d’ordre, qui ne doit voir « qu’une seule tête ».
Le Chef de projet doit avoir une approche généraliste, stratégique, une vue d’ensemble en général, et doit être capable de temps en temps de se focaliser sur l’un ou l’autre aspect du projet, responsabilité des experts, en finance, en technique, en logistique, en ressource humaines etc...
En conclusion, le chef de projet peut théoriquement piloter n’importe quel projet, sans connaitre la totalité des comparants techniques. Il faut au moins qu’il ait la capacité d’apprendre vite et qu’il ait les compétences humaines, les fameux « softs skills » indispensables. Écoute, respect, leadership, communication…
